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Tout est dans le titre ! Si vous avez des bases en astrophysique, passez votre chemin. Le livre est très orienté jeune public et apporte les bases pour comprendre les grandes théories de l'astrophysique. C'est mignon mais un peu niais malheureusement.

J'ai trouvé ce livre par hasard en flânant dans une librairie, l’œil attiré par sa jolie couverture. Puis, j'ai lu sur le bandeau qui l'entourait que c'était l’œuvre qui a infuencé Miyazaki pour son film éponyme. Je me suis laissée tenter non sans une pointe d'appréhension, pensant avoir à faire à un bouquin un peu culcul... et j'ai bien fait. Honnêtement, c'est l'un des plus beaux livres que j'ai lu de ma vie. L'histoire est magnifique, les personnages d'une douceur incroyable (sans tomber dans le mélodramatique non plus). Bref, un coup de cœur qui va me rester en mémoire longtemps.

Après Bilbo, j'ai décidé d'attaquer le Seigneur des Anneaux. N'ayant jamais vu les films, c'était une découverte, même si j'en savais déjà beaucoup du fait de l'influence colossale que l'œuvre exerce sur la pop culture. Sans surprise, l'univers créé par Tolkien est incroyablement riche, rempli de symboles puisés dans divers mythes. Selon moi la puissance du roman repose sur les descriptions, le rythme de la narration qui retrace à merveille le voyage associée à la sensation de dépaysement et les liens entre les personnages. Ils sont chaleureux entre eux et vis à vis du lecteur, comme des oasis au milieu d'un monde en proie au désespoir.

J’ai beaucoup aimé Le Huitième sortilège. Contrairement au tome précédent que j’avais trouvé un peu bancal, ici l’action est bien mieux dosée et le dénouement de cet arc "Rincevent" tient la route.

Il y avait bien longtemps que je voulais lire du Jane Austen.

Je dois avouer que son œuvre m’a toujours intimidée, et j’avais aussi beaucoup la flemme, soyons honnêtes. Ce n'est pas tous les jours qu'on décide de s'attaquer à un classique de la littérature anglaise.

J’ai dévoré ma lecture, de la première ligne à la dernière. J’ai été très impressionnée par le style d’Austen dans ce texte publié en 1813, porté par des dialogues plein d’esprits, tellement drôles et perspicaces.

C’est en flânant dans une librairie internationale que je suis tombée sur ce roman graphique. Son style plutôt simple, doux et régressif a attiré mon regard et un feuilletage rapide m’a convaincue de tenter le coup.

J’ai un faible pour les livres jeunesse, le genre tranche de vie, les histoires de familles pas ordinaires et les aventures dans la nature.

J'ai été charmée par le style de l'autrice et émue par les 3 jeunes demi-sœurs qui apprennent à vivre ensemble malgré des conditions de vie tourmentées. Pour cette belle surprise, j’en fais mon premier coup de cœur BD de l’année.

C’était une découverte totale pour moi. Aussi bien de son œuvre que de l’univers fantastique du Disque-Monde. J’en attendais beaucoup et je n’ai pas été déçue pour un sou.

La Huitième Couleur est le premier roman de la série des Annales du Disque-monde. Il met principalement en scène Rincevent, un mage raté, et Deuxfleurs, un touriste naïf. Ensemble, ils traversent une série d’aventures rocambolesques et voyagent dans différentes régions du Disque-monde.

J’ai dévoré ce livre en quelques jours, tant le récit était haletant et les punchlines hilarantes.

Je suis néanmoins d’accord avec les critiques qui avancent que le roman manque un peu de « liant ». Parfois, les chapitres s’enchaînent sans réel fil conducteur, hormis l’action en elle-même. Les personnages auraient gagné à être plus développés.

Cependant, le monde satirique du Disque est bien décrit et l’on fait rapidement le parallèle avec notre propre monde à travers la plume de Pratchett.