The Fifth Elephant

Empiezo el año con otro volumen de la serie del Mundodisco, sección Guardia Urbana, que es mi serie favorita, con el comandante Vimes y su pandilla policial en la gran ciudad llena de delincuentes, criminales y políticos astutos. Esta vez, en plan “Astérix en Alemania”, le mandan de embajador a Überwald, el país donde hombres lobos, enanos y vampiros andan siempre a hostias.

Como siempre, me lo he pasado en grande leyéndolo, sobre todo los diálogos y las descripciones de usos y costumbres. Vimes declarando “no tenía bastante dinero para ser alcohólico, así que me limitaba a ser un borrachuzo” es el tipo de cosas que me gustan de Pratchett. La parte narrativa, escenas de acción y que nuestros héroes estén una vez más en el ojo del huracán sigue siendo muy flojas, aunque lo paso por alto gracias a las continuas carcajadas de todo lo demás. Los personajes secundarios son geniales.

Cuánto tiempo (demasiado) sin avanzar en mi proyecto de leer todo Mundodisco en orden. Según avanza la saga se va notando que Pratchett (#speakHisName) no se siente obligado a meter chistes constantemente y dedica mayores esfuerzos a la trama y a la construcción de ese universo maravilloso que habita a lomos del Gran A'Tuin. De esta novela destacaría, más allá de su entretenida trama de politiqueos y espionaje, su mensaje de compresión y tolerancia que demuestran una vez más que el mundo es un lugar un poquito más tolerable gracias a Pratchett.

Dans ce roman, on asiste sans doute à la première sortie de Vimaire hors des doux murs d'Ankh-Morpokh, ce délicat refuge de la civilisation la plus cosmopolite du Disque-Monde. Sortie qui, bien sûr, n'est pas de tout repos.
En effet, Vimaire est envoyé, bien contre son gré, par le Patricien comme ambassadeur en Uberwald, contrée mythique des vampires, des loup-garous, et des nains intégristes.
Il est d'ailleurs curieux de voir à quel point, alors qu'on se serait attendu à ce que le roman nous parle des deux peuples de la nuit, l'action se concentre sur les nains les plus intégristes. J'aimerais d'ailleurs tout de suite faire un parallèle sans doute déplacé.
J'ai eu la nette impression, tout au long de ce roman, que [a:Pratchett|1654|Terry Pratchett|http://photo.goodreads.com/authors/1235562205p2/1654.jpg] utilisait les nains d'Uvberwald pour se moquer gentiment des communautés juives orthodoxes, comme les hassidiques, par exemple. Qu'est-ce qui me permet de lancer une métaphore aussi osée que prêtant à la controverse ? Eh bien juste une impression de lecteur, néanmoins tenace car s'appuyant sur les fameuses touches de détail que l'auteur se plaît à distiller dans tout son roman.
Bref, mis à part ces nains, qui rempliront bien le roman avec leur incompréhension totale des méthodes de Vimaire, on trouve aussi dans ce roman un Vampire qui a a arrêté, des loups-garous complètement dingues, et des montagnes de graisse.
Je trouve toujours formidable le talent qu'a [a:Pratchett|1654|Terry Pratchett|http://photo.goodreads.com/authors/1235562205p2/1654.jpg] de donner du corps à ces mythes par des détails de tous les jours. Et cette fois-ci, c'est les loups-garous qui en prennent pour leur grade, incapable qu'ils sont de continuer à réfléchir quand ils deviennet des loups.
Bien sûr, avec le temps, je devine de mieux en mieux les petites blagues que glisse l'auteur dans ces romans, du coup il ne reste que la réfléxion, ce qui est déja pas si mal.
Pour finir cet avis en vrac, quelques mots comme ça ...
Gaspode est toujours aussi bien.
Carote arrive peut-être au bon moment, mais pas de la bonne façon, et c'est ça qui est bien (et surtout il se rachète avec les loups).
Et puis c'est quand même une bien bonne histoire, non ? Si, clairement.
Donc lisez ce roman, vous verrez c'est bien comme du [a:Pratchett|1654|Terry Pratchett|http://photo.goodreads.com/authors/1235562205p2/1654.jpg].