La fin de partie de l'enchanteur

So. The Belgariad is a pretty no-frills fantasy chosen one epic that spans five books. It has some unique aspects, like the world and religion/magic systems, but it's severely flawed, particularly in its depiction of women.

Women in the Belgariad have three types of interactions with men: - Nagging them into getting their way - Seducing them into getting their way - Being patronized

Incidentally, I'll be pretty happy if I never see a woman's appearance described as "lush" or "overripe" again.

La conclusion de cette belle aventure est assez triste, en fait.
D'abord, le voyage de Silk, Belgarion et Belgarath est franchement ennuyeux.
Ensuite, le recrutement par Ce'Nedra de l'armée du Ponant est assez facile (mais l'auteur nous dit que c'était prévu par la prophétie, alors ...)
Et des deux morceaux de bravoure (la bataille de Tull Mardu et le combat contre Torak), seul le premier trouve grâce à mes yeux. Le second est dévoré par la comparaison avec, évidement, le Seigneur des Anneaux.
Il est d'ailleurs triste qu'un voyage qui commençait aussi bien se termine par cet espèce de truc un peu terne.
Je me demande en fait s'il n'aurait pas mieux valu, tant qu'à faire, tout écrire depuis l'un ou l'autre de ces seconds rôles à l'oeil pétillant de malice ou de bon sens. je suis à peu près sûr qu'on n'aurait pas perdu grand'chose.