Fight Club is a 1996 novel by Chuck Palahniuk. It follows the experiences of an unnamed protagonist struggling with insomnia. Inspired by his doctor's exasperated remark that insomnia is not suffering, the protagonist finds relief by impersonating a seriously ill person in several support groups. Then he meets a mysterious man named Tyler Durden and establishes an underground fighting club as radical psychotherapy.
In 1999, director David Fincher adapted the novel into a film of the same name, starring Brad Pitt and Edward Norton. The film acquired a cult following despite underperforming financially. The film's prominence heightened the profile of the novel and that of Palahniuk. The sequel Fight Club 2 was released in comic book form in May 2015.Fight Club 3 was released in comic book form in 2019.
Loved the movie, and was a bit disappointed with the book because I was expecting something more. It is very close to the movie, up until the last part. The ending almost made me give 5 stars.
Pour moi, c'était donc une découverte complète que cette histoire d'un simple cadre qui découvre la vraie vie en se marravant la tronche toute les semaines avant de plonger dans la vraie bonne spirale autodestructrice, celle qui se termine en suicide collectif.
Je n'irais pas plus loin dans le résumé, car il n'y a pas grand chose de plus dans ce roman. Bien sûr, je peux mettre ma main à couper qu'il y a des fans complets de ce truc, qui présente toutes les caractéristiques du roman culte : des phrases percutantes, des règles simples, des petits morceaux de philosophie de comptoir sur l'intérêt de la destruction du mode de vie contemporain. Bref, la routine.
Bon, vous pouvez vous en douter, je n'ai pas été ravi. Je comprend bien que ça puisse plaire. Mais pour faire ce bouquin, c'est pas …
Tout le monde a vu ce film, j'imagine, sauf moi.
Pour moi, c'était donc une découverte complète que cette histoire d'un simple cadre qui découvre la vraie vie en se marravant la tronche toute les semaines avant de plonger dans la vraie bonne spirale autodestructrice, celle qui se termine en suicide collectif.
Je n'irais pas plus loin dans le résumé, car il n'y a pas grand chose de plus dans ce roman. Bien sûr, je peux mettre ma main à couper qu'il y a des fans complets de ce truc, qui présente toutes les caractéristiques du roman culte : des phrases percutantes, des règles simples, des petits morceaux de philosophie de comptoir sur l'intérêt de la destruction du mode de vie contemporain. Bref, la routine.
Bon, vous pouvez vous en douter, je n'ai pas été ravi. Je comprend bien que ça puisse plaire. Mais pour faire ce bouquin, c'est pas compliqué : vous prenez une dose du [book:festin nu] pour le côté junkie (quoi que maintenant, je pourrais aussi parler du [book:poker d'âmes], qui cartonne pas mal dans la défonce), une bonne louche de [author:Lovecraft] et, pour donner du corps, je terminerai par [book:Le troupeau aveugle]. Ca me donnerait une belle soupe que, comme dans le roman, j'écumerai pour en tirer le meilleur. Et voilà ! Une superbe oeuvre, frappante, bâtie comme tant d'autres plongées dans un petit enfer personnel.
Bon, c'est une bonne entrée en matière de fantastique, même si ça n'en est que par la bande, qui n'a donc pas plus à voir avec la SF qu'avait pu en avoir [book:le festin nu]. Mais ça, c'est, comme on dit, un choix éditorial qui peut se défendre, mais qui n'est pas le mien, mais alors pas du tout.