En Mundodisco se inicia una carrera contrarreloj para impedir que el Tiempo se detenga.
Los Monjes de la Historia administran el Tiempo. Es su misión desde hace milenios, pero no es una labor sencilla. Fuerzas oscuras conspiran para detenerlo y propiciar el advenimiento del Apocalipsis. En la entrega número 26 de Mundodisco, un viejo monje barrendero y su discípulo deberán adelantarse a la conspiración y destruirla. ¿Tendrán sufciente tiempo?
Arrested Development level writing, packed with smartly-handled tropes and some solid fantasy science
5 stars
I loved this book, it's amazing to see Susan as an adult. A ton of stuff going on, including an exploration of totalitarian societies and, as usual, human nature.
if there were rules, then they applied to everyone, even her. Otherwise they were merely tyranny.
Después de varios libros que me gustaron especialmente porque Pratchett puso especial énfasis en llevar al Mundodisco problemas claramente basados en nuestro Mundobola ahora tocaba una entrega más fantástica. No voy a decir que sea malo ni mucho menos (dudo que haya nada escrito por El hombre del sombrero que no me guste), pero sí es cierto que lo he disfrutado un poquito menos que los anteriores. Aún así tiene personajes memorables como los Auditores, El Quinto Jinete y, sobre todo, una Susan que va cogiendo cada vez más relevancia.
Review of 'Procrastination (Les annales du Disque-Monde, tome 26)' on 'Goodreads'
5 stars
Comment fait [a:Terry pratchett|1654|Terry Pratchett|http://photo.goodreads.com/authors/1235562205p2/1654.jpg] ? A chaque tome, je me demande si il pourra encore explorer de nouveaux aspects de son monde à tiroir, et à chaque tome, il le fait spectaculairement. Dans ce tome, il s'attaque, dans le désordre, aux cavaliers de l'apocalypse, aux vieux moines pleins de sagesse, au temps qui passe, en passant par les musées inutiles. Et chacun de ces sujets mérite qu'on en parle, ce qui est malheureusement très difficile sans déflorer l'intrigue, habilement construite comme d'habitude. Les cavaliers de l'apocalypse, donc, reprennent une cavalcade, ce qui est difficule pour ces représentations anthropomorphiques qui se sont habituées, semble-t-il, à leur humanité. Heureusement pour elles, le dernier n'est pas, je trouve, le moindre (je lui ai même trouvé une classe largement supérieure à la Pestilence, par exemple, ce qui n'a rien d'étonnant vu l'époque). Suzanne Sto Hellit joue pleinement dans ce roman son rôle de …
Comment fait [a:Terry pratchett|1654|Terry Pratchett|http://photo.goodreads.com/authors/1235562205p2/1654.jpg] ? A chaque tome, je me demande si il pourra encore explorer de nouveaux aspects de son monde à tiroir, et à chaque tome, il le fait spectaculairement. Dans ce tome, il s'attaque, dans le désordre, aux cavaliers de l'apocalypse, aux vieux moines pleins de sagesse, au temps qui passe, en passant par les musées inutiles. Et chacun de ces sujets mérite qu'on en parle, ce qui est malheureusement très difficile sans déflorer l'intrigue, habilement construite comme d'habitude. Les cavaliers de l'apocalypse, donc, reprennent une cavalcade, ce qui est difficule pour ces représentations anthropomorphiques qui se sont habituées, semble-t-il, à leur humanité. Heureusement pour elles, le dernier n'est pas, je trouve, le moindre (je lui ai même trouvé une classe largement supérieure à la Pestilence, par exemple, ce qui n'a rien d'étonnant vu l'époque). Suzanne Sto Hellit joue pleinement dans ce roman son rôle de voix de la raison froide, limite cynique, qui va quand même sauver tout le monde. En fait, elle a un rôle que je trouve bien plus marquant que dans [b:Accros du roc] ou [b:le Père Porcher], sans doute parce qu'elle y est définitivement plus adulte et consciente de sa place très particulière dans le Disque-Monde. Il y a évidement un Igor qui se balade dans un coin, et qui ne manque pas de placer des répliques savoureuses dès qu'on lui laisse ouvrir la bouche. Mais évidement, la gloire de ce roman, ce sont le balayeur et son apprenti. Des personnages qui montrent à quel point un vieux maître boudhisto-truc-bidule peut être, une fois muni de la dose suffisante d'humour et d'auto-dérision, absolument redoutable pour ceux qui l'entourent. Surtout que ce balayeur-ci est muni de la doctrine très particulière d'une demoiselle d'Ankh-Morpock ... Bon, bien sûr, vous me direz que le Disque-Monde, je suis fan. C'est vrai. Cela dit, j'ai trouvé à ce roman une saveur particulière. Peut-être à cause de ce moine boudhiste qui m'a légèrement rappelé celui du film avec Eddy Murphy : Gloden Child, l'enfant du Tibet. Parce que c'est pas tous les jours qu'on rencontre un bonze qui ne se prend clairement pas au sérieux, et qui préfère le balai à la baston. Peut-êtyre aussi que ce nouveau cavalier de l'apocalypse, parfaitement en phase avec notre époque, a réveillé un groupe tombant dans la routine. Peut-être enfin parce que les hommes en noir de ce récit sont parfaitement représentatifs de la bureaucratie. En tout cas, une chose est sûre, il rentre dans la liste des tous meilleurs tomes de cette série, longue, excellente, mais parfois plus excellente encore.