Minnozz reviewed In Enemy Hands by David Weber
Slow start, great ending
4 stars
Content warning Vague spoilers
The “romance” plot in the first half was quite hard to read, but fortunately the second half was a lot better.
mass market paperback, 352 pages
English language
Published Oct. 1, 1998 by Baen.
Content warning Vague spoilers
The “romance” plot in the first half was quite hard to read, but fortunately the second half was a lot better.
Dans cette sconde partie, on retrouve Honor ausx mains des Havriens. Et pire que ça, aux mains du comité révolutionnaire, inspirés à la fois par les révolutionnaires français et russes. Vous imaginez donc à quel point ces personnages peuvent être détestables, vus par les yeux d'un auteur aussi manifestement conservateur à l'américaine. Enfin, elle est dans leurs mains, ou plutôt dans leur vaisseau, avec les personnages secondaires les plus typiques de ce que nos amis américains appellent l'"honorverse" : Tremaine, Harkness et d'autres qu'on a déja vu dans les tomes précédents.
Et ces personnages, comme elles, valent chacun une bonne dizaine de ces méchants havriens. Et ils vont leur faire payer.
Au début de ce tome, j'ai craint que l'auteur allait se complaire dans les mauvais traitements infligés à son personnage fétiche, mais heureusement, ça n'a pas été trop le cas. Du coup, franchement, même si la peine à laquelle …
Dans cette sconde partie, on retrouve Honor ausx mains des Havriens. Et pire que ça, aux mains du comité révolutionnaire, inspirés à la fois par les révolutionnaires français et russes. Vous imaginez donc à quel point ces personnages peuvent être détestables, vus par les yeux d'un auteur aussi manifestement conservateur à l'américaine. Enfin, elle est dans leurs mains, ou plutôt dans leur vaisseau, avec les personnages secondaires les plus typiques de ce que nos amis américains appellent l'"honorverse" : Tremaine, Harkness et d'autres qu'on a déja vu dans les tomes précédents.
Et ces personnages, comme elles, valent chacun une bonne dizaine de ces méchants havriens. Et ils vont leur faire payer.
Au début de ce tome, j'ai craint que l'auteur allait se complaire dans les mauvais traitements infligés à son personnage fétiche, mais heureusement, ça n'a pas été trop le cas. Du coup, franchement, même si la peine à laquelle elle est condamnée sans procès incite à l'introspection, j'ai trouvé qu'Honor se complaisait - comme à chaque fois que l'action s'arrête - dans une espèce de déprime assez pénible au bout de la dixième page.
Finallement, la seule chose qui sauvait ce roman, c'était la présence des seconds rôles qui, eux, n'ont pas hésité à s'agiter dans tous les sens, ou à remettre en cause leurs allégances.
Ah, au fait, si vous en êtes arrivé à ce septième tome, je sais enfin, comme vous sans doute, de quel personnage historique elle s'inspire ...
Et du coup, j'attends la suite (et surtout la conclusion) avec beaucoup d'impatience, malgré les défauts multiples de ces romans (le côté "l'armée vaut mieux que les civils" en tête).
Dans cette première partie, on assiste, comme c'est désormais la tradition, à la mise en place d'une nouvelle affectation du Seigneur Harrington au sein de la force royale manticorienne.
Cette fois-ci, elle pilote une escadre de croiseurs qui va escorter une flotte commerciale rapide. Tout le monde est content, tout à l'air de bien se passer, malgré le titre évidement.
Et franchement, je n'ai pas honte de le dire, j'ai attendu avec hâte que l'action commence. Parce que passer quelques centaines de pages à voir les uns et les autres se causer tranquillement, alors qu'on attend juste de l'explosion de missiles nucléaires au fin fond de l'espace, c'est hyper frustrant. Heureusement que le dernier chapitre est là, sinon je me serais vraiment ennuyé.