Nicolas Delsaux reviewed Grands froids by Jean-David Morvan
Review of 'Grands froids' on 'Goodreads'
3 stars
Ce tome donne une furieuse impression de ... retour en arrière.
Et pas seulement parce que Nävis retourne sur une planète où elle s'est investie émotionellement.
Mais aussi parce qu'on retrouve dans ce tome l'action débridée, l'absence de toute réflexion sur les buts de l'agent Nävis, bref, la simplicité des récits initiaux. La Naïveté, en quelque sorte.
Ce qui change, en revanche, c'est l'erreur de l'imprégnation culturelle : comme Nävis est censée être mère, elle a parfois des dialogues sur le rôle de la famille qui, à mon sens, n'ont aucune espèce de cohérence avec son personnage d'humaine élevée uniquement par des extra-terrestres de races aussi diverses qu'étranges.
Cela dit, c'est très distrayant, le récit est globalement bien dirigé, et le cliffhanger final est assez intelligement amené (même si le fils de Nävis se pose comme un sacré fichu Deus Ex Machina qui risque fort de passer son temps à …
Ce tome donne une furieuse impression de ... retour en arrière.
Et pas seulement parce que Nävis retourne sur une planète où elle s'est investie émotionellement.
Mais aussi parce qu'on retrouve dans ce tome l'action débridée, l'absence de toute réflexion sur les buts de l'agent Nävis, bref, la simplicité des récits initiaux. La Naïveté, en quelque sorte.
Ce qui change, en revanche, c'est l'erreur de l'imprégnation culturelle : comme Nävis est censée être mère, elle a parfois des dialogues sur le rôle de la famille qui, à mon sens, n'ont aucune espèce de cohérence avec son personnage d'humaine élevée uniquement par des extra-terrestres de races aussi diverses qu'étranges.
Cela dit, c'est très distrayant, le récit est globalement bien dirigé, et le cliffhanger final est assez intelligement amené (même si le fils de Nävis se pose comme un sacré fichu Deus Ex Machina qui risque fort de passer son temps à apparaître au "meilleur" moment).