Nicolas Delsaux reviewed La Cité de l'orque by Sam J. Miller
Review of "La Cité de l'orque" on 'Goodreads'
2 stars
Dans une ville flottante post-apocalyptique débarque une guerrière accompagnée d'une orque et d'un ours blanc encagé. Ce personnage quasi légendaire sert au début du roman de toile de fond aux vies d'une fonctionnaire municipale d'un lutteur dans un sport de combat quelconque, et d'un jeune livreur. On découvrira bien vite, et par des moyens bien curieux, qu'ils ont des liens bien plus proches que ce qu'on pourrait croire...
Ce roman me laisse une sensation très mitigée. Il a des qualités littéraires évidentes, un décor des plus dépaysants, et des personnages très denses. Néanmoins, il souffre de quelques défauts... Pénibles.
Le premier d'entre eux, et le plus dérangeant pour moi, est que, de mon point de vue, on est ici dans la pure fantasy. En effet, on y voit deux "enfants", deux orphelins de guerre, même, retrouver leur famille dans un combat contre un homme qui pourrait être un parfait méchant. …
Dans une ville flottante post-apocalyptique débarque une guerrière accompagnée d'une orque et d'un ours blanc encagé. Ce personnage quasi légendaire sert au début du roman de toile de fond aux vies d'une fonctionnaire municipale d'un lutteur dans un sport de combat quelconque, et d'un jeune livreur. On découvrira bien vite, et par des moyens bien curieux, qu'ils ont des liens bien plus proches que ce qu'on pourrait croire...
Ce roman me laisse une sensation très mitigée. Il a des qualités littéraires évidentes, un décor des plus dépaysants, et des personnages très denses. Néanmoins, il souffre de quelques défauts... Pénibles.
Le premier d'entre eux, et le plus dérangeant pour moi, est que, de mon point de vue, on est ici dans la pure fantasy. En effet, on y voit deux "enfants", deux orphelins de guerre, même, retrouver leur famille dans un combat contre un homme qui pourrait être un parfait méchant. Et ce combat est mené grâce à des forces qui semblent plus pencher du côté de la magie que d'autre chose. Bien sûr, le devoir est de la pure science-fiction, avec implants, intelligences artificielles à tous les étages et toute la quincaillerie sf. Mais tout ça n'a en fait aucun impact sur l'histoire.
Histoire qui est l'autre point faible. Parce qu'elle tient à grands coups de coïncidences, de "avec de la chance, ça va marcher" ou de Deus ex Machina.
Dommage parce que aurait pu être brillant