Nicolas Delsaux reviewed Honor Harrington Tome 10 by David Weber
Review of 'Honor Harrington Tome 10' on 'Goodreads'
1 star
Il faut bien l'avouer, plus la saga harringtonnienne avance, moins ses tomes arrivent à conserver leur séduction initiale, noyée qu'ils sont sous des considérations humanites (pouah !) politiciennes (repouah) et diplomatiques (rerepouah) sans oublier les insupportables alternoiements moraux de ces amiraux qui envoient à une mort certaine des centaines de milliers d'hommes en sachant pertinement que l'honneur ne le justifie pas.
Il ya tout ça dans ce tome mettant en scène une guerre quasiment terminée. Mais il y a en plus des politiciens mauvais, bas et veules face à une Harrington plus honorable que jamais, malgré le feu de passions qui la consument sans la brûler. Et des journalistes forcément stupides, avides du scoop montrant la petite culotte d'Harrington (j'aimerais aussi la voir, ça la détendrait sans doute), et qui plus est aux ordres du pouvoir politique.
Bref, c'est, il faut le dire, nul.
D'ailleurs, je pense que je ne …
Il faut bien l'avouer, plus la saga harringtonnienne avance, moins ses tomes arrivent à conserver leur séduction initiale, noyée qu'ils sont sous des considérations humanites (pouah !) politiciennes (repouah) et diplomatiques (rerepouah) sans oublier les insupportables alternoiements moraux de ces amiraux qui envoient à une mort certaine des centaines de milliers d'hommes en sachant pertinement que l'honneur ne le justifie pas.
Il ya tout ça dans ce tome mettant en scène une guerre quasiment terminée. Mais il y a en plus des politiciens mauvais, bas et veules face à une Harrington plus honorable que jamais, malgré le feu de passions qui la consument sans la brûler. Et des journalistes forcément stupides, avides du scoop montrant la petite culotte d'Harrington (j'aimerais aussi la voir, ça la détendrait sans doute), et qui plus est aux ordres du pouvoir politique.
Bref, c'est, il faut le dire, nul.
D'ailleurs, je pense que je ne vais pas lire la seconde partie de ce dixième tome, écoeuré que je suis par ce verbiage insensé et inutile, quand le lecteur de space-op basique que je suis ne demande rien d'autre que des mégatonnes d'acier se précipitant les uns vers les autres.