stinkingpig reviewed Blackout (All Clear, #1) by Connie Willis
Review of 'Blackout' on 'Goodreads'
3 stars
I was totally stressed out by this book, so I can't say I enjoyed reading it, but it has stuck with me for years. Very impressive work.
491 pages
English language
Published Aug. 8, 2010 by Spectra Ballantine Books.
When a time-travel lab suddenly cancels assignments for no apparent reason and switches around everyone's schedules, time-traveling historians Michael, Merope, and Polly find themselves in World War II, facing air raids, blackouts, unexploded bombs, dive-bombing Stukas, rationing, shrapnel, V-1s, and two of the most incorrigible children in all of history--to say nothing of a growing feeling that not only their assignments but the war and history itself are spiraling out of control.
I was totally stressed out by this book, so I can't say I enjoyed reading it, but it has stuck with me for years. Very impressive work.
Il est gros ce roman (surtout quand on sait que ça n'est "que" la première partie). Et en plus ça n'est que très partiellement de la science-fiction.
Je m'explique ...
On retrouve dans cette histoire l'équipe de voyageurs temporels du professeur Dunworthy qui s'en vont cette fois explorer Londres pendant la seconde guerre mondiale. Et, évidement, comme c'est une période hisorique plutôt compliquée, les risques pour les historiens de se faire décaler temporellement et géographiquement sont certains ... Sans compter évidement les risques "internes" à la période historique : ils peuvent être pris pour des espions, se faire bombarder accidentellement, ...
Et évidement, les jeunes historiens qui se retrouvent projetés dans cette époque incertaine sont complètement perdus, à la fois parce que lepur préparation n'est pas suffisante (elle ne l'est jamais) et en plus parce que du décalage, il y en a.
Heureusement, d'ailleurs, parce que ça va nous amener …
Il est gros ce roman (surtout quand on sait que ça n'est "que" la première partie). Et en plus ça n'est que très partiellement de la science-fiction.
Je m'explique ...
On retrouve dans cette histoire l'équipe de voyageurs temporels du professeur Dunworthy qui s'en vont cette fois explorer Londres pendant la seconde guerre mondiale. Et, évidement, comme c'est une période hisorique plutôt compliquée, les risques pour les historiens de se faire décaler temporellement et géographiquement sont certains ... Sans compter évidement les risques "internes" à la période historique : ils peuvent être pris pour des espions, se faire bombarder accidentellement, ...
Et évidement, les jeunes historiens qui se retrouvent projetés dans cette époque incertaine sont complètement perdus, à la fois parce que lepur préparation n'est pas suffisante (elle ne l'est jamais) et en plus parce que du décalage, il y en a.
Heureusement, d'ailleurs, parce que ça va nous amener à visiter bien des coins de l'Angleterre sous la guerre. C'est-à-dire, par exemple, l'évacuation de Dunkerque, la vie des enfants évacués et, bien sûr, le morceau de courage, Londres sous le blitz. Et, en quelque sorte, c'est à cause de la richesse de cette reconstitution que ce roman perd, à mon sens, son statut de roman de science-fiction pour devenir une espèce de reportage historique dans Londres durant le blitz. C'est très bien fait, et je me suis beaucoup plu à lire les aventures de nos jeunes héros dans cette ville assomée de bombes. Mais je trouve malgré tout que le voyage dans le temps n'es ici qu'un moyen science-fictif au secours d'une intrigue qui ne l'est pas.
Pour reprendre un vocabulaire du cinéma, les trois jeunes historiens sont, à partir du milieu du roman, à la recherche d'un McGuffin : un endroit qui leur permettrait de retourner dans leur époque, tout en ayant évidement conscience tous les trois que ce retour est sans doute impossible.
Comme je l'ai toutefois dit, ça n'ôte rien aux qualités d'écriture et de descritption de l'auteur, qui font qu'on s'attache très fortement à nos jeunes héros, pour perdus qu'ils soient. Et du coup, ça n'ôte rien non plus au grand bien que je pense de cette lecture, c'est-à-dire beaucoup. Toutefois, elle sort à mon sens du spectre de la SF, je ne la conseillerai donc qu'aux amateurs de voyage dans le temps utilisés comme outil de mise en scène (par opposition au voyage dans le temps en tant que ressort scénarisique, comme ça pouvait être le cas dans [b:Sans parler du chien]).
See "All Clear"
A neat premise that gets a little too mired in the time travel stuff. Really shines when exploring the history of the war, though.