Doc Kinne reviewed Foundation and Empire by Isaac Asimov (Foundation (4))
Review of 'Foundation and Empire' on 'Goodreads'
4 stars
Keep your friends close, and your enemies closer!
Mass Market Paperback
English language
Published Feb. 12, 1983 by Del Rey.
Foundation and Empire is a science fiction novel by American writer Isaac Asimov originally published by Gnome Press in 1952. It is the second book in the Foundation Series, and the fourth in the in-universe chronology. It takes place in two parts, originally published as separate novellas. The second part, "The Mule," won a Retro Hugo Award in 1996. Foundation and Empire saw multiple publications—it also appeared in 1955 as Ace Double (but not actually paired with another book) D-125 under the title The Man Who Upset the Universe. The stories comprising this volume were originally published in Astounding Magazine (with different titles) in 1945. Foundation and Empire was the second book in the Foundation trilogy. Decades later, Asimov wrote two further sequel novels and two prequels. Later writers have added authorized, and unauthorized, tales to the series.
Keep your friends close, and your enemies closer!
This is a great book if you're already in the Foundation story and it really sets the stage for the series. The two parts feel a bit disjointed, but that is only superficial. The whole premise is whether psychohistory can be changed by individual action. The first part suggests no, the second suggests yes. In addition to the interesting premise, the story is strengthened by better characters that grow and act for much longer than in the prior novel. And now the stage is set for a race to see who will reach the Second Foundation.
For a full review, check out my blog: strakul.blogspot.com/2021/08/book-review-foundation-and-empire-by.html
Would have normally rated it 4* but that ending... Wow!
L’un des intérêts majeurs de ce genre de lecture, c’est de permettre au lecteur de prendre conscience de l’évolution de la SF depuis cinquante ans (environ). En effet, on sent bien, à la lecture de cette suite, quelle révolution ça a pu être à l’époque, avec un univers moins violent, des personnages subtils, et une histoire qui est plus subie qu’organisée par les héros.
Cela étant, l’âge de ce roman se fait clairement sentir, et certains retournements de situation m’ont ainsi semblé arriver environ cent pages trop tard (comme par exemple ceux concernant le clown du mulet). Bon, mis à part l’âge, tout n’est quand même pas à jeter, loin de là. Comme par exemple cet atterissage final sur Trantor, pour découvrir les ravages causées par l’administration centrale de l’empire, où certains personnages tout à fait truculents (je pense évidement au psychologue mathématicien).
Malheureusement, les outrages du temps sont bel …
L’un des intérêts majeurs de ce genre de lecture, c’est de permettre au lecteur de prendre conscience de l’évolution de la SF depuis cinquante ans (environ). En effet, on sent bien, à la lecture de cette suite, quelle révolution ça a pu être à l’époque, avec un univers moins violent, des personnages subtils, et une histoire qui est plus subie qu’organisée par les héros.
Cela étant, l’âge de ce roman se fait clairement sentir, et certains retournements de situation m’ont ainsi semblé arriver environ cent pages trop tard (comme par exemple ceux concernant le clown du mulet). Bon, mis à part l’âge, tout n’est quand même pas à jeter, loin de là. Comme par exemple cet atterissage final sur Trantor, pour découvrir les ravages causées par l’administration centrale de l’empire, où certains personnages tout à fait truculents (je pense évidement au psychologue mathématicien).
Malheureusement, les outrages du temps sont bel et bien là, et les qualités de l’époque ne m’ont pas satisfait.
Je suis toutefois bien content d’avoir ajouté le vocabulaire de la psychohistoire à tout ce que je savais déja, mais je crois que je ne recommencerai pas l’expérience.
En revanche, une question reste ouverte dans mon esprit : quel est le but de tout ça. En effet, connaissant [author:Asimov] et ses aspirations concernant le cycle des robots, j’imagine qu’il a une motivation égale concernant sa psychohistoire. Le premier tome laissait supposer une victoire de l’intelligence pacifique sur la violence forcément barbare et décadente, métaphore habile des conflits qui secouent encore le monde. Mais ce second tome, qui voit l’effondrement d’une fondation sous le poids des élites, à quoi sert- il ? Est-ce une critique déguisée des systèmes gouvernementaux quels qu’ils soient ? Une façon de dénoncer la stratification inhérente à toute civilisation se basant sur un mythe fondateur ?
Je n’en ai pas la moindre idée. Et sans aller jusqu’à chercher vraiment le fond de la chose, ce récit me laisse une idée sur le bout de la langue, mais laquelle ?