Doc Kinne reviewed Foundation and Empire by Isaac Asimov
Review of 'Foundation and Empire' on 'Goodreads'
4 stars
Keep your friends close, and your enemies closer!
Mass Market Paperback, 224 pages
English language
Published Nov. 23, 1966 by Avon Books.
Led by its founding father, the great psychohistorian Hari Seldon, and taking advantage of its superior science and technology, the Foundation has survived the greed and barbarism of its neighboring warrior-planets. Yet now it must face the Empire still the mightiest force in the Galaxy even in its death throes. When an ambitious general determined to restore the Empire's glory turns the vast Imperial fleet toward the Foundation, the only hope for the small planet of scholars and scientists lies in the prophecies of Hari Seldon.
Keep your friends close, and your enemies closer!
This is a great book if you're already in the Foundation story and it really sets the stage for the series. The two parts feel a bit disjointed, but that is only superficial. The whole premise is whether psychohistory can be changed by individual action. The first part suggests no, the second suggests yes. In addition to the interesting premise, the story is strengthened by better characters that grow and act for much longer than in the prior novel. And now the stage is set for a race to see who will reach the Second Foundation.
For a full review, check out my blog: strakul.blogspot.com/2021/08/book-review-foundation-and-empire-by.html
Would have normally rated it 4* but that ending... Wow!
L’un des intérêts majeurs de ce genre de lecture, c’est de permettre au lecteur de prendre conscience de l’évolution de la SF depuis cinquante ans (environ). En effet, on sent bien, à la lecture de cette suite, quelle révolution ça a pu être à l’époque, avec un univers moins violent, des personnages subtils, et une histoire qui est plus subie qu’organisée par les héros.
Cela étant, l’âge de ce roman se fait clairement sentir, et certains retournements de situation m’ont ainsi semblé arriver environ cent pages trop tard (comme par exemple ceux concernant le clown du mulet). Bon, mis à part l’âge, tout n’est quand même pas à jeter, loin de là. Comme par exemple cet atterissage final sur Trantor, pour découvrir les ravages causées par l’administration centrale de l’empire, où certains personnages tout à fait truculents (je pense évidement au psychologue mathématicien).
Malheureusement, les outrages du temps sont bel …
L’un des intérêts majeurs de ce genre de lecture, c’est de permettre au lecteur de prendre conscience de l’évolution de la SF depuis cinquante ans (environ). En effet, on sent bien, à la lecture de cette suite, quelle révolution ça a pu être à l’époque, avec un univers moins violent, des personnages subtils, et une histoire qui est plus subie qu’organisée par les héros.
Cela étant, l’âge de ce roman se fait clairement sentir, et certains retournements de situation m’ont ainsi semblé arriver environ cent pages trop tard (comme par exemple ceux concernant le clown du mulet). Bon, mis à part l’âge, tout n’est quand même pas à jeter, loin de là. Comme par exemple cet atterissage final sur Trantor, pour découvrir les ravages causées par l’administration centrale de l’empire, où certains personnages tout à fait truculents (je pense évidement au psychologue mathématicien).
Malheureusement, les outrages du temps sont bel et bien là, et les qualités de l’époque ne m’ont pas satisfait.
Je suis toutefois bien content d’avoir ajouté le vocabulaire de la psychohistoire à tout ce que je savais déja, mais je crois que je ne recommencerai pas l’expérience.
En revanche, une question reste ouverte dans mon esprit : quel est le but de tout ça. En effet, connaissant [author:Asimov] et ses aspirations concernant le cycle des robots, j’imagine qu’il a une motivation égale concernant sa psychohistoire. Le premier tome laissait supposer une victoire de l’intelligence pacifique sur la violence forcément barbare et décadente, métaphore habile des conflits qui secouent encore le monde. Mais ce second tome, qui voit l’effondrement d’une fondation sous le poids des élites, à quoi sert- il ? Est-ce une critique déguisée des systèmes gouvernementaux quels qu’ils soient ? Une façon de dénoncer la stratification inhérente à toute civilisation se basant sur un mythe fondateur ?
Je n’en ai pas la moindre idée. Et sans aller jusqu’à chercher vraiment le fond de la chose, ce récit me laisse une idée sur le bout de la langue, mais laquelle ?