Ubik, written in 1966 and published in 1969, is one of Philip K. Dick's masterpieces (The Three Stigmata of Plamer Eldritch is another one). Ubik is the first novel to introduce spiritual elements that will culminate in his last novels VALIS, the Divine Invasion and the Transmigration of Timothy Archer. According to movie industry rumor Ubik could be the next big PKD movie project. Philip K. Dick himself wrote a screenplay for Ubik in 1974 but it was never made into a movie. PKD was hoping that it would by sending "the novel to the agent of Victoria Principal- whom he revered - in hope that she'd wind up reading it."(Tim Powers in the introduction to Ubik: The Screenplay). Ubik was expanded and adapted from the short story "What the Dead Men Say" published in Worlds of Tomorrow in 1964.
Ubik is one of the most published books of Philip …
Ubik, written in 1966 and published in 1969, is one of Philip K. Dick's masterpieces (The Three Stigmata of Plamer Eldritch is another one). Ubik is the first novel to introduce spiritual elements that will culminate in his last novels VALIS, the Divine Invasion and the Transmigration of Timothy Archer. According to movie industry rumor Ubik could be the next big PKD movie project. Philip K. Dick himself wrote a screenplay for Ubik in 1974 but it was never made into a movie. PKD was hoping that it would by sending "the novel to the agent of Victoria Principal- whom he revered - in hope that she'd wind up reading it."(Tim Powers in the introduction to Ubik: The Screenplay). Ubik was expanded and adapted from the short story "What the Dead Men Say" published in Worlds of Tomorrow in 1964.
Ubik is one of the most published books of Philip K Dick in the world.
...having said that you probably need to be a PKD fan to get into it at first. I am willing to bet more than a few people met this book first and noped out of PKD forever, which is a shame. Not the most accessible story, takes a bit of stamina, imo, but the payoff is well well worth it.
Enjoyable and interesting. The main character seemed a little one dimentional at times, and there were a few scenes that seemed rushed and could have used more detail, but those are small nitpicks.
J’ai déja essayé de lire des bouquins de [author:Dick] et, à chaque fois, ça m’est tombé des mains. Pourtant, n’étant pas du genre à abandonner facilement, et souhaitant quand même avoir une certaine connaissance des figures de la SF de l’âge d’or, je ne pouvais pas faire longtemps l’impasse sur ce bouquin.
Bon, d’un autre côté, si je n’aime pas [author:Dick], il faut peut-être à un moment arrêter de s’acharner.
Parce qu’évidement, je n’ai pas aimé cet [book:Ubik], je n’ai pas aimé les aventures de Joe Chip, dans cet univers se dissolvant lentement, je n’ai pas aimé le côté décor en carton-pâte, je n’ai pas aimé ces personnages qui ont moins de consistance qu’un flacon d’[book:Ubik]. Il y a pourtant de belles bases philosophiques aux réflexions de Joe sur la permanence de l’univers qui l’entoure, et sur sa capacité (à Joe) à modifier cet univers.
L’invention de la semi-vie est …
J’ai déja essayé de lire des bouquins de [author:Dick] et, à chaque fois, ça m’est tombé des mains. Pourtant, n’étant pas du genre à abandonner facilement, et souhaitant quand même avoir une certaine connaissance des figures de la SF de l’âge d’or, je ne pouvais pas faire longtemps l’impasse sur ce bouquin.
Bon, d’un autre côté, si je n’aime pas [author:Dick], il faut peut-être à un moment arrêter de s’acharner.
Parce qu’évidement, je n’ai pas aimé cet [book:Ubik], je n’ai pas aimé les aventures de Joe Chip, dans cet univers se dissolvant lentement, je n’ai pas aimé le côté décor en carton-pâte, je n’ai pas aimé ces personnages qui ont moins de consistance qu’un flacon d’[book:Ubik]. Il y a pourtant de belles bases philosophiques aux réflexions de Joe sur la permanence de l’univers qui l’entoure, et sur sa capacité (à Joe) à modifier cet univers.
L’invention de la semi-vie est elle aussi assez intelligente, avec ses implications sur le mode de vie de chacun.
Mais ça n’a pas réussi à me captiver.
Pas plus, d’ailleurs, que les influences positives et négatives sur l’environnement de Joe qui, si elles sont initiallement intriguantes, deviennent lassantes une fois qu’on le sait en semi-vie dans un caisson proche de celui du jeune vampire psychique.
Il y a toutefois une question que je me pose. Cet [book:Ubik], est-ce, comme on l’apprend à la fin, la matérialisation du désir de survivre que représente la femme de Rucinter, et qui va passer le relais à Joe, ou est-ce le parangon de consumérisme vanté par ces petits slogans en tête de chapitre ?
Et (question corollaire) tous ces trucs nommés [book:Ubik] qu’on trouve un peu partout essayent-ils réellement de s’inspirer de ce bouquin ? Auquel cas ils n’ont absolument rien compris à ce que pourrait représenter cet [book:Ubik], qui n’est certainement pas une version améliorée des choses, juste une version restaurée.
Bon, c’est peut-être le seul intérêt de ce bouquin : offrir plus de questions que de réponses. Pourtant, comparé à book:Simulacron 3, certes plus récent (je crois), le questionnement sur la qualité de la réalité est moins bien tourné, je trouve.
(1) Je choisis à dessein un ouvrage comparable en date d’écriture, pour éviter tous les arguments d’anachronie.